71% des Français* déclarent avoir déjà eu recours à au moins une pratique de médecine douce. Si l’ostéopathie est en tête du classement, la diététique ou encore l’acupuncture la suivent de près. Si leurs bénéfices sont reconnus et interviennent en complément de la médecine traditionnelle, leur coût représente parfois un frein. Tour d’horizon de ces techniques manuelles qui respectent le fonctionnement du corps.

  • Que désigne le terme médecine douce ?

L’acupuncture, la chiropractie, la micro kinésithérapie ou encore l’ostéopathie appartiennent à la médecine douce. Selon les statistiques, les femmes y ont plus recours que les hommes pour des douleurs comme les migraines, les problèmes d’articulations, le mal de dos, les allergies, le stress… Chaque discipline propose de soigner et de protéger son capital santé avec des méthodes naturelles et respectueuses du corps. Le choix d’un spécialiste s’effectuera en fonction des diplômes ou des formations suivies, mais aussi au travers de votre propre ressenti ! Ajoutons toutefois qu’il est primordial que le praticien soit inscrit au registre national des professionnels de santé.

  • La prise en charge des médecines douces

Si aujourd’hui plus d’un Français sur trois a régulièrement recours aux médecines douces pour se soigner, leur prise en charge par les caisses d’assurance maladie est loin d’être généralisée. Pourtant, elles ont su s’imposer en tant que pratiques complémentaires et font même partie de programmes de soins antidouleur au sein d’hôpitaux. Mais, le coût de certaines consultations peut décourager ceux qui déclarent n’avoir jamais utilisé ce type de médecine. L’apport des mutuelles est parfois mal connu en matière de remboursement.

Aux Mutuelles du Pays-Haut, nous proposons des garanties qui prennent en charge ces dépenses selon un plafond annuel. Vous souhaitez en parler ? Nous sommes à votre écoute au  03.82.24.37.05 !

*Observatoire des parcours de soins des Français (Santéclair / Harris Interactive_ les Français et les médecines douces_octobre 2019)